Ce n’est pas parce qu’on joue dans la terre qu’on n’est pas connecté!
Les nouvelles générations d’agriculteurs urbains (jardiniers chez les babyboumeurs) sont connectées et synchronisées. Elles veulent des résultats sans ressentir le besoin d’en connaître beaucoup et sans avoir à y consentir de nombreuses heures de « travail ». Elles font donc très souvent appellent à l’immense encyclopédie que présente Internet. Elles y cherchent des conseils, des références, du contenu.
Du côté des commerces au détail, les entreprises qui tireront profit du marché des jeunes générations seront celles qui offriront en premier lieu, du contenu plutôt que des prix et des aubaines. Les agriculteurs urbains sont à la recherche d’informations. Ils n’ont que très peu de connaissances « horticoles » et ne souhaitent pas en obtenir beaucoup. Juste assez pour réaliser les projets qu’ils ont en tête. En proposant un contenu simple, facilement accessible et utilisable sans effort l’entreprise devient alors une référence, une entreprise à l’écoute des besoins de ses clients. Une fois qu’un client de la nouvelle génération a fait affaire avec une entreprise et qu’il en est satisfait, il en fait une référence positive et peut devenir le meilleur ambassadeur de l’entreprise.
En ce qui concerne les entreprises de services créatifs comme les entrepreneurs paysagistes et les architectes paysagistes, elles doivent proposer une ambiance, une approche particulière, ou encore de démonter le fait que l’on mise sur les besoins particuliers de celui qui est devant l’écran. Des études de cas (attentes et besoins du client, budget [fourchette], échéancier de réalisation, etc.), plutôt que quelques photos de projets réalisés, seront plus efficaces. Présenter la simplicité du processus est aussi une bonne manière d’attirer les nouvelles clientèles.
Pour les entreprises offrant des services d’entretien paysager, le potentiel est énorme. En effet, les nouvelles générations de « jardiniers » n’aiment pas les tâches répétitives et de peu de valeur « expérientielle ». Par contre il faut leur démontrer que le service est écologique et que sa « gestion » est simple. Par exemple, commander en ligne un service de tonte de gazon ou encore des traitements écologiques pour la pelouse.
On sait que plus d’un client sur deux (environ 60 %) consulte Internet avant de prendre contact avec une entreprise. Ce pourcentage est d’ailleurs en continuelle augmentation. Ne pas être présent sur le Web, c’est donc passé à côté au minimum d’un client sur deux. Il faut aussi savoir que les baby-boomers sont branchés.
Utiliser les médias sociaux (Web, Facebook, Pinterest, Linkdend, etc.) comme vitrine est donc devenu incontournable. La connexion verte est de plus en plus présente et là pour rester. Seules les entreprises horticoles qui sauront en tirer parti seront compétitives dans le marché.
Bien qu’ils soient faciles à identifier, même si certains jardiniers les confondent parfois avec les chrysomèles rayées du concombre, il est difficile de se débarrasser de ces insectes ravageurs.
Quand un insecte ravageur et une maladie bactérienne s’allient, les concombres, courges, courgettes, pommes de terre, cerises de terre, tomates, laitues, haricots et pois sont en danger.
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